Il poursuit la politique de conquête entamée par son père. Il installe la cour à Âgrâ, alors une simple bourgade, pour lutter plus efficacement contre les souverains rajputs, mais ne parvient pas à conquérir Gwalior[1].
Tout en agrandissant le sultanat, il s'emploie à l'administrer efficacement, entamant une politique de centralisation : contrôles sur la comptabilité des administrateurs et sur les troupes entretenues par les nobles qu'il oblige à lui obéir[2].
Sikandar Lodi permet ainsi au sultanat de retrouver la prospérité.
Poète et amoureux des arts, il accueille de nombreux artistes[Qui ?] à la cour.
Il se montre parfois intolérant et ordonne la destruction de plusieurs temples hindous[Où ?][2]. Sikandar Lodi meurt en .
Il a pour successeur son fils aîné Ibrahim (mort en 1526), dernier de la dynastie.