Les Servantes de Marie Réparatrices (en latin : Congregationis Servarum Mariae Reparatricum) sont une congrégation religieuse féminine enseignante et caritative de droit pontifical.
En 1911, Marie Dolores Inglese, fervente adepte de la réparation mariale, rentre dans l'institut et convainc la fondatrice d'adopter cette dévotion[2]. Le 8 décembre 1913, Luigi Pellizzo, évêque de Padoue, approuve leurs constitutions religieuses inspirées des Servites de Marie et sous la règle de saint Augustin[1]. Il approuve également la réparation mariale et ajoute le titre de Réparatrices aux Servantes de Marie[3].
L'institut reçoit le décret de louange le 24 mars 1931 ; il est définitivement approuvé par le Saint-Siège le 17 juin 1941[1].
Activités et diffusion
Les Servantes de Marie Réparatrices se consacrent à l'enseignement et à diverses activités selon les besoins où elles vivent.
En 2017, la congrégation comptait 309 sœurs dans 56 maisons[5].
Notes et références
↑ ab et c(it) Guerrino Pelliccia et Giancarlo Rocca, Dizionario degli Istituti di Perfezione, vol. VIII, Milan, Edizione Paoline, 1974-2003, p. 1367-1370