De 1793 au , les communes de Jugon, Lescouët-Jugon, Saint-Igneuc et Dolo sont autonomes. Le , Jugon-les-Lacs est créée par regroupement des communes de Jugon, Lescouët-Jugon (22125) et Saint-Igneuc (22301), sous le régime juridique de la fusion-association défini par la loi du . Le , Jugon-les-Lacs - Commune nouvelle est créée en lieu et place des communes de Jugon-les-Lacs (22084) et de Dolo (22051), sous le régime juridique de la commune nouvelle (application de l'article 21 de la loi du 16 décembre 2010)[1],[2]. A partir du , Jugon-les-Lacs - Commune nouvelle est renommée en Jugon-les-Lacs.
Avec l'absorption de Dolo, la superficie de Jugon-les-Lacs passe de 26,15 km2 à 38,03 km2.
Histoire
Le XXe siècle
Les guerres du XXe siècle
Le monument aux Morts porte les noms des 31 soldats morts pour la Patrie[3] :
26 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
4 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.
1 est mort durant la Guerre d'Indochine.
La période contemporaine
Le , la commune de Saint-Igneuc est rattachée à celle de Jugon qui devient Jugon-les-Lacs[4].
↑Le découpage entre Saint-Igneuc, Jugon et Lescouët-Jugon résulte d'une interprétation de la carte d'état-major de 1950 et n'est à ce titre pas formellement exact. Il n'a qu'une vocation informative.
↑Recueil des actes administratifs Arrêté en date du 27 novembre 2015 portant création dès le de la commune nouvelle « Jugon-les-Lacs - Commune nouvelle » constituée des communes actuelles de Jugon-les-Lacs et de Dolo.