Maçon de formation, il perdra son emploi à la suite d'un article publié dans Blick à son sujet[1].
Il fait d'abord partie du mouvement skinhead Blood & Honour, avant de participer en à la fondation du PNOS[1]. Il en assume la présidence jusqu'en été 2003, date à laquelle il quitte le parti[2].
En 2001, il tente d'ouvrir un magasin de vêtements, « Hooligan Streetwear », à Rheinfelden (Bâle), ainsi qu'un site de vente par internet, « Lolo-Versand ». À la suite de menaces de mort proférées à son encontre, il résilie le bail de son local en . Il essaye de lancer d'autres sites de vente de vêtements et de CD sous des noms divers, tels « Sleipnir Records » ou « white-revolution.ch »[2] .
Entre et , Kunz est condamné six fois pour des actes de violences divers. En , il est condamné pour actes de violences à 16 mois de prison avec sursis[3].
Notes et références
↑ a et b(de) Andreas Schmid, « Dünger für die braune Saat », FACTS, no 49, , p. 37 (lire en ligne)
↑ ab et c(de) « Wer ist die Partei National Orientierter Schweizer, PNOS / NAPO? Eine Neonazi-Partei oder eine rechtsextreme Sekte? », AKDH, (lire en ligne)
↑« Vier Rechtsextreme wegen Rassismus verurteilt », Swiss Info, (lire en ligne)