Rue de Stalingrad (Montreuil)

Rue de Stalingrad
Rue de Stalingrad, anciennement rue de Fontenay.
Situation
Coordonnées	48° 51′ 16″ nord, 2° 26′ 50″ est
Pays	France
Région	Île-de-France
Ville	Montreuil (Seine-Saint-Denis)
Quartier(s)	Bas-Montreuil
Début	Rue de Rosny
Fin	Avenue de Stalingrad à Fontenay-sous-Bois
Morphologie
Type	Rue
Histoire
Anciens noms	Rue de Fontenay
Géolocalisation sur la carte : Montreuil Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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La rue de Stalingrad est une voie de communication de Montreuil en Seine-Saint-Denis^[1]. Elle suit partiellement le tracé de la route départementale 40.

Situation et accès

Elle traverse la rue Molière^[2], puis marque la fin de l'avenue Gabriel-Péri (route départementale 37) sur sa droite.

Elle se termine au sud avant le carrefour des Parapluies, dans l'alignement de l'avenue de Stalingrad à Fontenay-sous-Bois.

Origine du nom

Plaque émaillée de la rue.

Cette rue commémore la bataille de Stalingrad remportée par l'Union Soviétique sur les armées allemandes de septembre 1942 à février 1943.

Historique

Autrefois « rue de Fontenay », car elle mène à la ville de Fontenay-sous-Bois^[3],[4] elle a pris son nom actuel après la Libération.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

• Au n^o 14, un immeuble de bureaux construit dans les années 1980^[5], siège de l'Agence nationale pour l'information sur le logement.
• Square des Parapluies.
• Au 1er Juin 2021, un entrepôt désaffecté situé au n^o 138 sert toujours d'hébergement aux travailleurs maliens expulsés du Foyer Bara, construit en 1968 et devenu surpeuplé ^[6].

Notes et références

1. AVANT 1945 ; rue ; MAISON ; CHEMINEE ; HIPPOMOBILE ; PERSONNAGE ; CANTONIER , Montreuil-sous-Bois - Rue de Fontenay
2. AVANT 1945 ; PERSONNAGE ; ENFANT ; CHEMINEE , Montreuil-sous-Bois - Rue Molière et rue de Fontenay
3. Planimètre des villes de Vincennes, Fontenay-sous-Bois, Bagnolet, Montreuil-sous-Bois, Saint-Mandé, Bois de Vincennes , 1930
4. Montreuil, rue de fontenay
5. 14 rue de Stalingrad
6. Montreuil : «250 personnes dans un hangar sans fenêtres, ce n’est pas acceptable»