La famille Obama à la Statue du Christ Rédempteur à Rio de Janeiro, une photo de Pete Souza. Barack Obama étant alors président, cette visite avait lieu dans un cadre officiel de relations entre le Brésil et les États-Unis. Mars 2011.
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En 1964, l'ambassadeur américain Lincoln Gordon joue un rôle majeur dans le soutien à l'opposition au gouvernement de João Goulart et pendant le coup d'État. Le , il écrit un câble secret au gouvernement américain, lui demandant soutenir le coup d'État avec une « livraison clandestine d'armes » et des livraisons de gaz et de pétrole, éventuellement complétées par des opérations secrètes de la CIA[1].
La présidente Dilma Rousseff annule sa visite aux États-Unis prévue en octobre 2013 après la publication de documents relatifs à sa mise sur écoute par la NSA[2].
Les relations entre les deux pays se renforcent sous les présidences de Donald Trump et de Jair Bolsonaro : vente du constructeur aéronautique Embraer, créé par l’armée brésilienne, à Boeing, promotion du Brésil au rang d’ « allié privilégié » en dehors de l’Otan en , ou encore feu vert donné par Brasilia à l’utilisation, par Washington, de la base de lancement spatial d’Alcântara. Le ministre brésilien des Affaires étrangères, Ernesto Araújo, propose même aux États-Unis l’installation d’une base militaire en territoire brésilien[4].
Donald Trump et Jair Bolsonaro signent en au siège du US Southern Command (la flotte nord-américaine pour l'Amérique latine), un accord militaire bilatéral d'envergure. Donald Trump salue à cette occasion « l'alliance stratégique » entre les deux pays et leur stratégie commune contre le Venezuela[5].
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