Tête de liste poujadiste dans la Vienne en 1956, il obtient 12.8 % des voix et est élu député.
Son activité parlementaire, pendant laquelle il ne se distingue pas dans ses prises de positions de la ligne de son groupe Union et fraternité française, est limitée par la dégradation de son état de santé. En congé de l'assemblée à compter du 7 mars 1958, il décède en cours de mandat le mois suivant.