Le Conseil de sécurité craignait que ses objectifs n'aient pas été atteints et que l'accord entre les parties croates du 7 mai 1995 ait été violé, notamment sur le retrait des troupes des zones de séparation. Le respect du cessez-le-feu et le retrait de ces zones étaient importants pour la mise en œuvre du mandat de l'ONURC. Le respect des droits de l'homme a été souligné, notamment dans la région de la Slavonie occidentale (secteur ouest du déploiement de l'ONURC).
Des déclarations antérieures du Président du Conseil de sécurité sur l'offensive croate en Slavonie occidentale – l'Opération Flash – en violation de l'accord de cessez-le-feu signé le 29 mars 1994. Il s'est déclaré satisfait des mesures prises pour répondre aux exigences énoncées dans les déclarations, mais a exigé le retrait de toutes les troupes des zones de séparation. L'autorité de l'ONURC a été soulignée en plus du respect de sa sécurité et de sa sûreté[1].