Début 2010, Diego Guelar, secrétaire des relations internationales de PRO, s'est prononcé en faveur de l'octroi d'une amnistie pour les militaires et policiers accusés de crimes commis lors de la dictature militaire (1976-1983), suscitant des oppositions y compris de la coalition elle-même (de la part du vice-président du parti José Torello ou du secrétaire général de PRO, Jorge Macri) [1].
Accusations de corruption
La députée Gladys González, dénoncée par un autre responsable du PRO, aurait instigué des nominations de fonctionnaires sur les salaires desquels elle retenait 10 % pour sa formation politique[2].