Le prix Maxime-Raymond est une distinction québécoise, créée par la fondation Lionel-Groulx ; il est décerné à l'auteur de la meilleure biographie historique publiée en français au cours des trois années précédant sa remise ; il est d'un montant de 1500 dollars[1]. Les membres du jury sont des universitaires.
Le prix est nommé en l'honneur de l'avocat et homme politique canadien Maxime Raymond.
2002 : Louis-Philippe Hébert, catalogue d'exposition (Musée du Québec, - ; Musée des beaux-arts du Canada, - ) ; sous la direction de Daniel Drouin[1].
2005 : Louise Bail-Milot, Maryvonne Kendergi : la musique en partage, Montréal, Hurtubise HMH, 2002[5].
2008 : Allan Greer, Catherine Tekakwitha et les jésuites : la rencontre de deux mondes, Montréal, Éditions du Boréal, 2007 (ISBN978-2-7646-0495-3)[2] ; traduction de Mohawk Saint : Catherine Tekakwitha and the Jesuits, New York, Oxford University Press, 2005.
↑« Prix littéraires de l’Institut d’histoire de l’Amérique française », Revue d’histoire de l’Amérique française, vol. 50, no 2, , p. 339-340 (lire en ligne)
« Prix littéraires de l’Institut d’histoire de l’Amérique française », Revue d’histoire de l’Amérique française, vol. 56, no 1, , p. 145–148 (lire en ligne).