Le génie militaire acceptant finalement que la gare soit édifiée sur la rive droite à 500 mètres de partie ouest de la ville, un décret du autorise la Compagnie à prolonger la ligne sur la rive droite. Un pont ferroviaire est construit en amont des ponts routers avec un débouché à proximité de la gare définitive. Le , le court tronçon du Vernet à Perpignan est mis en exploitation. Le chantier du pont et celui de la gare sont achevés[3].
Caractéristiques
Pont en maçonnerie qui comporte sept travées[4] pour une longueur de 179 mètres[1].
Notes et références
↑ a et bReinhard Douté, Les 400 profils de lignes voyageurs du réseau français : lignes 601 à 990, vol. 2, La Vie du Rail, , 239 p. (ISBN978-2-918758-44-0), p. 60.
↑Adolphe Joanne, De Bordeaux à Toulouse, à Cette et à Perpignan, Paris, Librairie Hachette et Cie, coll. « Guides Joanne », (lire en ligne), p. 300.
Voir aussi
Bibliographie
François Palau et Maguy Palau, Le rail en France : Le second Empire, t. 2 : 1858-1863, Paris, Palau, , 223 p. (ISBN978-2-9509421-2-8 et 2-9509421-2-1, BNF37658881), « 3.4. Narbonne-Le Vernet et 3.18. Le Vernet-Perpignan », p. 10 et 35.