Phil Alden Robinson présente une œuvre diversifiée explorant des genres différents[6] mais permettant une lecture de la société contemporaine notamment américaine sous des angles variés.
Le critique Oliver Gruner indique d'ailleurs que la filmographie de Robinson participe d'un vaste mouvement cinématographique américain de la fin du XXe et du début du XXIe siècle[7], puisant dans la mémoire collective américaine marquée par la culture sociale et politique des années 1960. Jusqu'au bout du rêve se sert ainsi du baseball comme cadre de la quête initiatique du héros[8],[9].
↑(en) James G Blight et Janet M Lang, The Armageddon letters : Kennedy /Khrushchev /Castro in the Cuban missile crisis, Rowman et Littlefield, (ISBN978-1-4422-1680-8, lire en ligne).
↑Ciné bazar no 3, La Madeleine, LettMotif, , 228 p. (ISBN978-2-36716-161-7 et 2367161615), « Dossier Phil Alden Robinson », p. 114.
↑(en) Jerry Rodnitzky et Edward J. Reilly ((ed.)), Baseball in the classroom : essays on teaching the national pastime, McFarland & Co., , 196 p. (ISBN978-0-7864-2779-6, OCLC71369067, lire en ligne), « History :Using base-ball to tech U.S. History - Since the civil war ».
↑(en) Phil Alden Robinson et Robert Nelson Jacobs, « The art of screenwriting », First Light Video Pub. ; Exclusively distributed by TMW Media Group, (consulté le ).
↑(en) Phil Alden Robinson, Lawrence Lasker et Walter F Parkes, Sneakers : the screenplay, Harvest Moon Pub. ; Writers Guild Foundation, , 250 p. (ISBN978-1-59300-130-8, OCLC55676283, lire en ligne).