En 1933, Jackson rejoint le département cinéma du General Post Office, où il travaille d'abord comme assistant. Sa première réalisation est The Horsey Mail (1938), un documentaire d'une bobine à propos de la poste dans un village reculé du Suffolk. Ses plus célèbres documentaires seront réalisés pendant la guerre, dont notamment Missions secrètes(en)[1],[2],[3],[4].
Après la guerre, Jackson se voit offrir un contrat avec la Metro-Goldwyn-Mayer et se rend avec son épouse aux États-Unis. Mais cette expérience ne le satisfait pas et il revient au Royaume-Uni où il tourne notamment
Des hommes comme les autres(en). Mais les autres films tournés dans les années 1950 ne sont pas de la même qualité et il se retrouve même un peu mis à l'écart par l'arrivée d'une nouvelle génération de cinéastes. Il partage alors son temps entre cinéma et télévision[1],[2],[3],[4].
↑ a et b(en) Geoff Brown, Leo Enticknap, « Jackson, Pat », BFI Screen On Line (consulté le ).
↑ a et b(en) Brian Baxter, « Pat Jackson obituary », The Guardian, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b(en) Charles Barr, « Pat Jackson: Director who learnt his trade on 'Night Mail' and went on to make one of the finest wartime films », The Independent, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b(en) « Pat Jackson », The Telegraph, (lire en ligne, consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
Pat Jackson : Retake Please: Night Mail to Western Approaches , Liverpool University Press (1999), 288 pages, (ISBN0853239533)