Paolo Bacigalupi

Paolo Bacigalupi, né le à Paonia dans le Colorado, est un écrivain américain de science-fiction. Il a obtenu le prix Hugo du meilleur roman 2010, le prix Nebula du meilleur roman 2009, le prix John-Wood-Campbell Memorial 2010, le prix Locus du meilleur premier roman 2010 et le prix Compton-Crook 2010 pour La Fille automate. Son roman Ferrailleurs des mers a reçu le prix Locus du meilleur roman pour jeunes adultes 2011.

Biographie

Paolo Bacigalupi est un auteur de fiction spéculative à succès international. Il a remporté les prix Hugo, Nebula, World Fantasy, John W. Campbell et Locus[1], en plus d'être finaliste du National Book Award et lauréat du "Micheal L. Printz Award for Excellence in Young Adult Literature". Le travail de Paolo Bacigalupi se concentre souvent sur les questions d'environnement, notamment les impacts du changement climatique ou sur des themes post-climato-apocalyptiques[2],[3] comme dans la trilogie "Les Cités englouties". Il a écrit des romans pour adultes, jeunes adultes et enfants.

Œuvres

Série Les Cités englouties

  1. Ferrailleurs des mers, Au diable vauvert, 2013 ((en) Ship Breaker, 2010)[1]
  2. Les Cités englouties, Au diable vauvert, 2013 ((en) The Drowned Cities, 2012)
  3. Machine de guerre, Au diable vauvert, 2018 ((en) Tool of War, 2017)

Romans indépendants

Recueils de nouvelles

Autres nouvelles traduites en français

  • Modèle Mika, 2016 ((en) Mika Model, 2016), trad. Sara Doke
    Publiée dans l'anthologie Utopiales 2016 aux éditions ActuSF

Anthologies

Récompenses

Notes et références

  1. a et b Macha Séry, « Les pirates de l'ère prochaine. Ferrailleurs des mers, de Paolo Bacigalupi », le Monde,‎ (lire en ligne).
  2. (en) John Clute, Peter Nicholls (dir.), « Bacigalupi, Paolo », dans The Encyclopedia of Science Fiction, (lire en ligne)
  3. Claire Perrin, « Apocalyptisme ou collapsologie ? L’effondrement dans la cli-fi », Caliban. French Journal of English Studies,‎ , p. 171-186 (lire en ligne)
  4. (en) Alison Flood, « China Miéville and Paolo Bacigalupi tie for Hugo award », The Guardian,‎ (lire en ligne).
  5. (en) Hector Tobar, « Imagining a thirsty future in Paolo Bacigalupi’s ‘The Water Knife’ », The Washington Post,‎ (lire en ligne).

Liens externes