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On raconte qu’à une époque reculée et assez difficile à préciser, un nommé Aoun originaire de Seguia el hamra
arriva à N’Gaous où, grâce à son intelligence, il acquit rapidement une assez grande influence. Il exerçait la profession de Gassab, joueur de flûte. Entreprenant et audacieux, il profita du mécontentement qui se manifestait contre la garnison turque, pour se mettre à la
tête de ses partisans, massacrer la garnison, s’emparer de N’Gaous et proclamer l’indépendance des tribus voisines qui
avaient fait leur soumission aux turcs. Le Bey de Constantine ayant pris en personne la direction d’une colonne pour venir venger la mort de ses soldats, Aoun ne se sentant pas assez fort, se réfugia chez les Hidoussa (Merouana) dans les montagnes du Belezema. Arrivée à N’Gaous, la colonne turque châtia les rebelles et les frappa d’une forte amende, mais plusieurs fractions
réussirent à aller rejoindre Aoun, et le Bey, reconnaissant la grande influence de celui-ci jugea plus politique de s’en
faire un ami. Il lui donna le titre de cheikh du Belezema. A sa mort, Aoun laissa un fils, El Guidoum qui fut à son tour remplacé par son fils Ali. Celui-ci s’allia aux Teleghma, aux Ouled Aabdelnour et aux Eulmas, puis il s’insurgea contre le Bey de Constatine. Après une rencontre entre les contingents armés du Bey et les siens, rencontre dont les résultats ne sont pas connus, Ali Ben El Guidoum fut confirmé et agrandi dans ses pouvoirs par le Bey, Hassan Bou Hanek remplaçant de ce Bey (1736-1753) résolut de se débarrasser d’Ali Ben El Guidoum dont l’influence grandissante gênait sa popularité. Après lui avoir demandé sa fille en mariage, il lui tendit un piège, le fit égorger, se saisit de ses deux fils Ferhat et Hamou, et donna son commandement à un nommé Bou Aoun, des Ouled Bou Zian. Celui ci fut à son tour trahi par le Bey au profit de Ferhat Ben Ali Ben Guidoum que Bou Hanek avait fait
élever dans sa famille et pris en affection au point que, peu de temps après, le Bey lui avait confié l’administration de toute la région comprise entre Ain Azel au Sud de Setif, et le Tarf au nord de Khenchla. En 1804, il fut tué à la tête de son goum dans les contingents du Bey Osman près de l’embouchure de l’'Oued el Kebir (El Milia) selon les uns, chez les Flissas sous le règne D’Ahmed Bey el Koli(1756-1771) selon les autres.
On est ici autant dans le domaine de la légende que dans celui de l’histoire. Les récits continuent, par la succession du cheikhat et les disputes, les combats, auxquels cette succession donna lieu jusqu’en 1844, année de la conquête des Ouled Bou Aoun par la France.