Autour de 1800, l'observatoire devient un centre international d'astronomie, car il est le plus moderne des instituts de l'époque, principalement du point de vue des instruments[8]. Ceux-ci proviennent de Londres en Angleterre, qui en était le principal fournisseur au XVIIIe siècle[8],[9]. Ceux-ci comprennent un quadrant de 18 pouces, un instrument de transit de deux pieds, trois sextants de Hadley, un héliomètreachromatique, une lunette achromatique de deux pieds (60 cm), un télescope de type grégorien et plusieurs horloges[8].
Au début du XIXe siècle, l'observatoire fait l'acquisition ld'instruments améliorés[3] : un théodolite, un nouvel héliomètre, une nouvelle monture et un cercle méridien de trois pieds. Aucune spectroscopie ou photographie n'y a été effectuée et le seul équipement d'astrophysique de l'observatoire était un photomètre Zöllner[8].
Hommages
L'astéroïde (1346) Gotha a été nommé en l'honneur de la ville de Gotha, en reconnaissance de son observatoire.
Références
↑(en) D. Howse, « The Greenwich List of Observatories - a World List of Astronomical Observatories Instruments and Clocks - 1670-1850 », Journal of the History of Astronomy., vol. 17, no 51, , p. 1 (Bibcode1986JHA....17A...1H) – see page A29.
↑ a et b(en) A. Armitage, « Baron von Zach and his astronomical correspondence », Popular Astronomy, vol. 57, , p. 326–332 (Bibcode1949PA.....57..326A)
↑ a et b(en) Gudrun Wolfschmidt, « Gotha - the instruments of the observatory », Acta Historica Astronomiae, vol. 3, , p. 89–90 (Bibcode1998AcHA....3...89W)
↑(en) Taylor, Marie Hansen; Kiliani, Lilian Bayard Taylor, On two continents: memories of half a century, Doubleday, Page & company, (ISBN0-548-98711-4, lire en ligne), p. 4