Le , L'Équipe révèle que des traces d'EPO ont été récemment retrouvées dans les urines de l'intéressé (échantillon A) collectées lors des Championnats de France 2012 : la Fédération française d'athlétisme (FFA) le suspend immédiatement à titre conservatoire, alors qu'il était sélectionné pour les Jeux olympiques de Londres[2],[3].
L'échantillon B confirme les premières analyses. Compte tenu de sa suspension précédente, Nour-Eddine Gezzar risque la suspension à vie[4],[5]. Finalement, le , la FFA décide de suspendre Gezzar de toute compétition durant 10 ans compte tenu de « la récidive de l'athlète »[6],[7],[8].