Pareillement, il trouva sa fonction auprès de la Chapelle royale. En 1574, il devint maître de la Chapelle de plain-chant qui assurait la messe quotidienne à la cour. Mais, quatre ans plus tard environ, il quitta cette fonction en faveur de Nicolas Brulart de Sillery[2]. Lorsque la Chapelle royale subissait une immense difficulté pendant la Ligue, il contribua considérablement à rétablir les offices de celle-ci vers la fin de l'année 1590, en qualité de premier aumônier du roi ainsi qu'en collaboration avec le maître de l'Oratoire, cardinal Pierre de Gondi[3].
Voir aussi
Bibliographie
Lana Martysheva, Henri IV roi : le pari de l’hérétique, Ceyzérieu, Champ Vallon, coll. « Époques », , 335 p. (ISBN979-10-267-1105-6).
↑ abcd et eabbé Oroux, Histoire ecclésiastique de la cour de France, où l'on trouve tout ce qui concerne l'histoire de la Chapelle, & des principaux officiers ecclésiastiques de nos rois, , 758 p. (lire en ligne), p. 180.
↑Oroux (abbé.), Histoire ecclésiastique de la cour de France, où l'on trouve tout ce qui concerne l'histoire de la Chapelle, & des principaux officiers ecclésiastiques de nos rois, , 708 p. (lire en ligne), p. 222.