En 1996, il publie La damnation des stars chez Filipacchi.
En 1997, il publie des articles dans l'hebdomadaire britannique The European (traductions de John Laughland).
En 2001, il assiste au tournage du film Stalingrad de Jean-Jacques Annaud et publie chez Michel de Maule une monographie sur ce cinéaste : Jean-Jacques Annaud : un cinéaste sans frontières. Il raconte le tournage de ce film en Allemagne, à Cottbus, sur le site jjannaud.com.
Nicolas Bonnal part vivre en Amérique du Sud à Iguazu pendant plus de cinq ans (2004-2009). En 2007, il publie Les Mirages de Huaraz & autres contes latinos. L'ouvrage est traduit en ukrainien par Tatiana Popova-Mozovska, qui devient sa femme, puis publié dans Vsesvit(en), la principale revue littéraire ukrainienne.
Après la mort de François Mitterrand, Nicolas Bonnal montre, dans son livre Mitterrand, le grand initié (1996), que ce dernier se passionnait pour les sujets ésotériques et faisait montre d'une connaissance poussée du symbolisme occulte dans les grands travaux qu'il mena à bien pendant sa longue présidence. Bonnal soutient que l'intérêt que Mitterrand portait aux idées marginales fait de lui davantage un adepte du Nouvel Âge qu'un occultiste mais que la distinction est souvent ténue[3].
Internet, la nouvelle voie initiatique
Alors que, selon la sociologue Céline Bryon-Portet, certains francs-maçons voient dans le réseau Internet une continuité avec le réseau humain et institutionnel que constitue la franc-maçonnerie, Nicolas Bonnal, à l'inverse, « a vu dans le pouvoir démiurgique du réseau informatique créateur de mondes virtuels – qu'il compare à celui du Grand Architecte de l'Univers –, une « technognose » ouvrant sur une nouvelle voie initiatique »[4].
Œuvres
Mitterrand, le grand initié : les tentations ésotériques d'un président : essai d'investigation symbolique, éd. Claire Vigne, 1995, (ISBN2-84193-009-2), (BNF37019978) ;
Mal à droite. Lettre ouverte à la vieille race blanche et à la droite, fille de joie, éd. Michel de Maule, 2011, (ISBN978-2-87623-279-2), (BNF43533174).
↑Fiammetta Venner, Extrême France, Grasset, 2006, 526 p., chap. II, Les nationaux-radicaux : « « Nous sommes intégralement haïs, intégralement rejetés, nous sommes d'une autre planète », explique Nicolas Bonnal du GUD. »
↑Nicolas Bonnal, Emmanuel Ratier, la pensée unique et l’esprit du Siècle, Le libre Journal de la France courtoise, 19 juin 2012 : « Les pauvres rouges-bruns, dont je faisais partie autour de l’équipe de Jean-Edern Hallier, alors à la tête de l’Idiot international ».