Alors que le Conservatoire retient l'attention du compositeur en ce début d'année 1917. Le jour de l'An voit l'achèvement du Prélude pour Aglavaine et Sélysette et en avril, il achève la Rhapsodie pour deux flûtes, clarinette et piano. Il compose également des mélodies, L’Adieu en janvier et Saltimbanques en mars, toutes deux faisant partie des Six Poèmes tirées d’Alcools de Guillaume Apollinaire. En , il compose Nature morte qui sera publiée dans le numéro 2 de la revue L’Arbitraire[1] en avec la mention « musique de Honniger »[1],[H 1],[H 2].
Analyse et structure
Sa durée d'exécution est d'environ 2 minutes. La mélodie évoque une table garnie de fruits et d'une unique fleur[H 2].
Partitions
« Honegger » (partitions libres de droits), sur le site de l'IMSLP