Après avoir exercé au cabinet d'avocats Colas & Associates, Michel Kelly-Gagnon devient associé de Formatrad, une société spécialisée dans la formation en entreprise[2].
En 1998, il prend la direction de l’Institut économique de Montréal (IEDM), un think tank d’éducation économique, considéré comme plusieurs comme étant une organisation de droite économique[3].
Michel Kelly-Gagnon a été l'un des six récipiendaires de la province de Québec du prix Top 40 Under 40 en 2008[6]. En 2009, il revient à l'IEDM comme président, alors que l'organisation connaît des difficultés financières[7].
Il est membre de la Société du Mont Pèlerin et ancien président de Civitas, deux organisations connues pour promouvoir des visions libérales (économiques), conservatrices et libertariennes de la société[8],[9],[10].
Il siège présentement au conseil d'administration de la John W. Dobson Foundation et de la Fondation canadienne pour l’innovation. Il a siégé dans divers conseils d'administration et comités, dont celui de la Fondation canadienne des jeunes entrepreneurs (FCJE, aujourd'hui Futurpreneur) et de la Fondation universitaire Pierre Arbour[11].
Covid-19
Lors de la pandémie de Covid-19, dans la foulée des manifestations antimasques, Michel Kelly-Gagnon félicite Éric Duhaime pour une publication sur Twitter où ce dernier expose des statistiques sur la Covid-19, ainsi que son scepticisme sur le port du masque obligatoire. Dénoncé dans une chronique par Patrick Lagacé[12], Kelly-Gagnon justifie cet appui en expliquant qu'il félicitait Duhaime pour son utilisation des statistiques, et non de son opposition au port obligatoire du masque[13].
Publications
Il a publié une monographie en 2004 : Chroniques économiques : Des idées pour démystifier les politiques publiques (Montréal: Varia, 2004). Il a aussi écrit des textes d'opinion dans plusieurs journaux québécois et canadiens.