Début 2008, il est nommé vice-ministre des Politiques et du Plan pour les sciences, les technologies et les industries, poste qu'il exerce jusqu'au début de l'année 2010[2].
En 2009, il déclare que les propriétaires de médias conspirant en vue d'un coup d'État méritent la mort[note 1],[3] défendu peu après par le président Hugo Chávez qui fait référence à cette polémique lors d'un discours à Buenos Aires en qui déclare : « Ne soyez pas surpris si le gouvernement agit contre quelques médias qui continuent de pratiquer le terrorisme »[note 2],[4].