À cette occasion, il obtient le soutien nécessaire du Zentrum, le parti catholique. Seul le SPD ose s'opposer. (La séance a lieu en présence de forces armées SA et SS).
28 mars : déclaration de Fulda. Les évêques allemands lèvent l'incompatibilité pour des catholiques d'adhérer au parti national-socialiste tout en rappelant leur réserve à l'égard de l’idéologie nazie et leur souci de préserver l’intégrité et les missions de l’Église[1].
En Uruguay, le président Gabriel Terra fait arrêter les neuf membres du Conseil national d’administration et dissout l’Assemblée. Le coup d’État se réalise presque sans heurts, l’armée est tenue à l’écart et la mobilisation populaire se révèle inexistante. L’autoritarisme sera modéré, et seulement 75 personnes devront s’exiler en 1935.
Début de la Gleichschaltung : Mise au pas des Länder et de toute la société allemande.
↑Gilbert Krebs et Gérard Schneilin, Exil et résistance au national-socialisme, 1933-1945, Presses Sorbonne Nouvelle, , 344 p. (ISBN978-2-910212-07-0, présentation en ligne)