En Atlantique du nord-est de l'Irlande à la Guinée, se rencontre Maja brachydactyla qui n'est considérée comme distincte de Maja squinado que depuis 2008[2].
Éthologie
Pêche
La pêche s'effectue au casier et au filet et en tant que prise accessoire au chalutage.
La taille légale est de 120 mm.
La France est le principal producteur avec 5 000 tonnes par an.
Consommation
Informations nutritionnelles
Les données pour 100 grammes de chair comestible sont[3] :
Énergie : 127 kcal
Protéines : 20,10 g
Lípides : 5,20 g
Glucides : 0,00 g
Gastronomie
La femelle à la carapace massive et chevelue d'herbes est moins creuse que le mâle et les plus charnues sont celles qui ont le rapport poids/grosseur le plus important. Les meilleures sont les formes juvéniles, appelées moussettes et qui s'ensablent à demi parmi les herbeux[4].
Référence
Herbst, 1788 : Versuch einer Naturgeschichte der Krabben und Krebse nebst einer Systematischen Beischreibung ihrer Verschieden Arten. vol. 1, Part. 7, p. 207–238.
↑*Sotelo, Morán & Posada, 2008 : Genetic identification of the northeastern Atlantic spiny spider crab as Maja brachydactyla Balss, 1922. Journal of Crustacean Biology, vol. 28, n. 1, p. 76-81 (texte original)
↑(en) The advanced seafood handbook, Seafood Business, , p. 47
↑Georges Fleury, La pêche à pied, Grasset, (lire en ligne), p. 57