Ma vie sur le bicorne (Azghyin ushtykzyn'azaby, Место на серой треуголке) est un film kazakh traitant d'un drame social, réalisé par Ermek Shinarbaev aux studios Kazakhfilm en 1993[1]. Il obtient un Léopard d'or au Festival de Locarno la même année. Le film a pour introduction le passage du Manifeste du surréalisme d'André Breton évoquant Roger Vitrac : À peine avais-je invoqué le marbre-amiral que celui-ci tourna sur ses talons comme un cheval qui se cabre devant l'étoile polaire et me désigna dans le plan de son bicorne une région où je devais passer ma vie[2]. La citation fait écho au titre du film.
Synopsis
Quelques jours d'un groupe de jeunes dans la ville d'Almaty, illustrant le mal de vivre de toute une génération.
Fiche technique
- Titre : Ma vie sur le bicorne
- Titre original : Место на серой треуголке (Azghyin ushtykzyn'azaby)
- Réalisateur : Ermek Shinarbaev
- Scénariste : Nikita Djalkibayev
- Photographie : Sergueï Kosmanev
- Directeur artistique : Vladimir Trapeznikov
- Montage : Koulan Doussenbayeva
- Son : Goulnar Moukatayeva
- Société de production : Kazakhfilm
- Pays d'origine : Kazakhstan
- Format : couleur
- Langue : russe
- Genre : Drame social
- Durée : 82 minutes
- Sortie : 1993
Distribution
Notes et références
Liens externes
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