Mère de triplées, elle se consacre à ses enfants et à l'écriture de fiction[5]. Auteure de plusieurs romans, elle fait paraître Voyage léger (La Peuplade, 2011), L'angoisse du poisson rouge (La Peuplade, 2012), Les couleurs primaires (Didier, 2016) ainsi que Les voies de la disparition (La Peuplade, 2016)[6],[7],[8],[9],[10],[11].
Elle publie également un recueil de nouvelles, Point d'équilibre (La Peuplade, 2012) en plus de signer des textes dans des collectifs de nouvelles[5],[12].
Mélissa Verreault est également traductrice. Elle traduit notamment Ligne brisée, un roman de Katherena Vermette (Québec Amérique, 2017) ainsi que Liminal, un roman de Jordan Tannahill (La Peuplade, 2019)[1].
Pendant plusieurs années, elle collabore également avec le magazine montréalais Urbania[2].
Âge Sexe Ville, dans L'ère-seconde : portraits d'une génération entre deux millénaires : nouvelles, sous la direction de Philippe Boutin, Montréal, Tête première, 2016, 195 p. (ISBN9782924207581)
Les fausses balles, dans Stadorama, sous la direction de Catherine Mathys, Montréal, VLB, 2016, 203 p. (ISBN9782896497072)
Paréidolies, dans Monstres et fantômes, sous la direction de Stéphane Dompierre, Montréal, Québec Amérique, 2018, 349 p. (ISBN9782764436608, 9782764436615 et 9782764436622)
Partie de chasse au petit gibier entre lâches au club de tir du coin, de Megan Gail Coles, Traduction de Mélissa Verreault, Montréal, Québec Amérique, 455 p. (ISBN9782764444016 et 276444401X)
Ta gueule t'es belle, de Téa Mutonji, traduction de Mélissa Verreault, Montréal, Tête première, 2021, 206 p. (ISBN9782925035480 et 2925035485)