Elle compose plusieurs pièces transcrites du chinois et arrangées pour piano dont La Chanson du thé sur un poème traduit de l'empereur chinois Qianlong[3],[4].
Louise Haenel de Cronenthall a produit une œuvre abondante, parmi laquelle on trouve vingt-deux sonates et ces œuvres entre autres :
Quatuor à cordes
Romance dramatique, pour violoncelle et piano
La Nuit d'épreuve, opéra (1867)
La Chanson du Thé, op. 68 (1867)
Cremonese, quatuor à cordes
La cinquantaine villageoise, symphonie
Salut au printemps, symphonie (op. 40, 1860)
La fantastique, symphonie
Apollonia, symphonie
Bonheur pastoral, symphonie
Notes et références
↑Acte de mariage, Archives de Paris AD075EC V4E 00884 0023
↑Otto Ebel, Les femmes compositeurs de musique. Dictionnaire biographique, Paris, P. Rosier, (lire en ligne)
↑Qian long, La Chanson du Thé, composée au XVIIIe siècle par l'Empereur Khien-long, transcrite du chinois et arrangée pour le piano. op. 68, E. Gérard, (lire en ligne)
↑Dantin, « Nécrologie », Le Gaulois, , p. 2 (ark:/12148/bpt6k529433c)
↑(en) Julie Anne Sadie et Rhian Samuel, New Grove Dictionary of Women Composers
↑Acte de décès de Louise Augusta Haenel de Cronenthal, Registre des décès du 6ème arrondissement de Paris (28 février 1896 (acte n°397) - 6 avril 1896 (acte n° 637)), Archives de Paris, 31 p. (lire en ligne), p. 10