Il fait des études universitaires et obtient le diplôme de docteur en médecine. Il est médecin à la prison de Forest, inspecteur principal d'hygiène du gouvernement belge et membre du Conseil médical de la Croix rouge de Belgique.
Parallèlement, il s'intéresse précocement aux Lettres. Dès 1888, Il publie des romans et des recueils de contes. Il écrit également des chroniques dans le journal Le Soir avant la Première Guerre mondiale et lit ses chroniques sur les ondes de l'Institut national de radiodiffusion (INR). Hubert Krains le qualifia d'écrivain régionaliste « exprimant l'âme de la Wallonie sans mesquineries ni petitesses[1] ».