Vers 1970 au Peyroux (Puy-de-Dôme), Mathilde a un malaise en se levant. Elle en informe le docteur, de passage, mais refuse la maison de retraite. En février suivant, un lumbago l'immobilise quelque temps. Le docteur lui trouve une place à la maison d'Entraygues pour le . Elle vend ses bêtes et boit son tilleul chaque soir. Elle s'habitue à la maison de retraite. Son neveu, Jean, qu'elle avait oublié, la visite. Elle fait un testament disant que sa maison lui reviendra après sa mort[1].