Le roman suit le déroulement de la dernière partie de go[2] jouée par le dernier des Hon'inbō, Shūsai, un an avant sa mort, contre le jeune Otake (ce dernier nom étant fictif).
Inspiration
Le roman est basé sur la partie honorifique disputée par Hon'inbō Shūsai contre Kitani Minoru en 1938, organisée pour le remercier d’avoir offert le nom de sa maison à la Nihon Ki-in, laquelle en fit un titre de tournoi. Le vieux maître perdit cette partie de cinq points, ce qui est interprété dans le roman comme le signe que son héritage était entre de bonnes mains.
Éditions françaises
Le Maître ou le Tournoi de go (trad. du japonais par Sylvie Regnault-Gatier), Paris, Albin Michel, , 213 p.
Le Maître ou le Tournoi de go (trad. du japonais par Sylvie Regnault-Gatier), Le Livre de Poche, coll. « Biblio », , 157 p.
Adaptations
Sous le titre Le Maître de go, le roman a été adapté au théâtre par Jean-Paul Lucet en 1990, avec Michel Bouquet dans le rôle de Shusai.
Bibliographie
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↑Le titre japonais, Meijin, est le titre honorifique donné au meilleur joueur du moment et le titre français est une erreur de traduction : il s’agit bien d’une unique partie.