Le film s'ouvre sur une citation : « Our dictionary says : « There are two kinds of cuckoos. Those that live in clocks and those who can’t help it ». »[1]
M. et Mme Gimplewart habitent avec leur fils une splendide maison dont ils cherchent à se débarrasser car elle jouxte l’asile psychiatrique. À cet effet M. Gimplewart a passé une annonce, mais il est bien difficile, lors de la visite des futurs acquéreurs, de leur cacher les indésirables voisins.
Après une tentative de vente infructueuse, un nouveau client se présente et leur propose d'échanger leur maison contre la sienne, en présentant une photo qui montre une splendide demeure. L’occasion est trop belle et la famille saisit cette chance. Mais la contrepartie de l’échange, construite à la hâte, va s’avérer pire que leur ancienne maison.
Charles Meakin : celui qui propose l'échange contre sa maison
Lyle Tayo : une invitée à la pendaison de crémaillère
Autour du film
Dans cette comédie mettant en scène Max Davidson, Laurel et Hardy n’effectuent qu’une participation aux côtés de Charley Chase et James Finlayson. Tous les quatre jouent le rôle des pensionnaires de l’asile. Il est à noter les cheveux extrêmement courts de Stan et Ollie. Ils viennent de tourner L'Année du second centenaire (The Second Hundred Years) pour lequel ils se sont rasés la tête afin de parfaire leur rôle de bagnards.
Le Chant du coucou est le treizième film où Laurel et Hardy ont tourné ensemble aux Studios Hal Roach. Selon que l'on considère ou non que le tandem comique est déjà établi, ce film pourrait être à juste titre considéré comme un caméo du duo.
↑Notre dictionnaire dit : « qu’il y a deux sortes de coucous. Ceux qui font tic-tac et ceux qui sont toc-toc ». (tentative de rendre le jeu de mots : cuckoo a le sens familier de cinglé)