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Lalie Walker est née le , à Versailles, sous son vrai nom, qui est inconnu. Née de mère franco-lettone et de père hongrois, elle apprend à 18 ans que ce dernier n'est pas son père biologique. Elle grandit avec sa grand-mère[2]. Les figures familiales et l'absence du père sont des thèmes récurrents de ses romans.
A vingt ans, elle part en Italie pendant dix-huit mois, et rentre à Paris. Elle entame des études de psychologie et devient psychothérapeute. Elle arrête après quelques années pour se consacrer à l'écriture[3].
Elle écrit pour la littérature jeunesse et la radio, puis se tourne vers le polar.
Style
Les romans noirs de Lalie Walker ont pour thématiques le rêve, la psychologie, et les interférences entre le monde réel et la fiction. Son personnage récurrent est l'enquêtrice Jeanne Debords.
On dégage les axes du progrès !, novella, éditions du Cénomane, 2014 - avec six nouvelles d'autres auteurs, écrites dans le cadre des ateliers d'écriture animés par Lalie Walker au Centre de Culture Populaire de Saint-Nazaire[5].
Théâtre
Saynètes en anglais, Retz, coll. « Petits Comédiens », 2000
To The Zoo and Short Plays, Retz, coll. « Petits Comédiens », 2004
Essais
Belle-mère, belle-fille : un mariage à trois, L'Archipel, 2005
N’oublie pas : lauréat du Prix du Zinc 2004, prix des lecteurs de la ville de Montmorillon (nommé pour le Prix Cognac 2004, pour Sang d'encre à Vienne 2003, pour le Prix polar de Montigny-lès-Cormeilles 2003)
Portées disparues : nommé pour le Prix du livre de Cognac 2002, pour le Prix polar de Montigny-lès-Cormeilles, pour les Prix « meilleure adaptation cinématographique » de Saumur et du Prix d’Aquitaine-Synopsis)