La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques[4].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 6,60 km2[8],[Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 6,58 km2[6]. Son relief est relativement plat puisque la dénivelée maximale atteint 7 mètres. L'altitude du territoire varie entre 112 m et 119 m[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 648 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Loury à 16 km à vol d'oiseau[14], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,1 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].
Urbanisme
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).Réseau routier principal de la commune de Laas (avec indication du trafic routier 2014).Carte orthophotographique de la commune en 2016.
Typologie
Au , Laas est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18].
Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pithiviers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (96 %), zones urbanisées (4 %)[21].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 115, alors qu'il était de 107 en 2015 et de 87 en 2010[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Laas en 2020 en comparaison avec celle du Loiret et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,3 %) supérieure à celle du département (4,7 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 76,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,5 % en 2015), contre 62,1 % pour le Loiret et 57,5 pour la France entière[I 4].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
6,3
4,7
9,7
Logements vacants (en %)
8,1
9,1
8,2
Voies de communication et transports
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Risques naturels et technologiques
La commune de Laas est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible).
Elle est également exposée à un risque technologique : le risque de transport de matières dangereuses[22].
Entre 1989 et 2019, trois arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune : deux pour des inondations et coulées de boues et un pour des mouvements de terrains[23].
Risques naturels
Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d'effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l'inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités[24].
Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[25]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumise à un aléa « faible » face à ce risque,hormis une bande en aléa « moyen » englobant le bourg, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[26].
Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante[27]. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[23].
La paroisse de Laas acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l'Assemblée Nationale[31] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[32]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[33].
Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n'a affecté la commune depuis sa création[34].
Circonscriptions de rattachement
La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Laas est alors incluse dans le canton de Vrigny, le district de Pithiviers et le département du Loiret[35].
La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838[36]. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l'action de l'État. La régionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit à la création de régions[37]. L'acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l'autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes[38]. L'acte II intervient en 2003-2006[39], puis l'acte III en 2012-2015.
Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Laas aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.
La commune est rattachée au district de Pithiviers de 1790 à 1795[34],[35]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance[40].
Le , la municipalité de Laas est rattachée au canton de Vrigny[41]. Les cantons acquièrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
Sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons dans le Loiret de 59 à 31[42]. Laas est alors rattachée par arrêté du 9 vendémiaire an X () au canton de Pithiviers[43],[34].
La loi du [44] et ses décrets d'application publiés en février et [45] introduisent un nouveau découpage territorial pour les élections départementales. La commune est alors rattachée au nouveau canton de Malesherbes[45]. Depuis cette réforme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compétence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau découpage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est désormais uniquement une circonscription électorale dédiée à l'élection d'un binôme de conseillers départementaux siégeant au conseil départemental[46].
Sous la Troisième République, en raison d'un endettement considérable et de l'effort nécessaire pour la reconstruction post-Première Guerre mondiale, la France traverse une crise financière. Pour réduire les dépenses de l’État, Raymond Poincaré fait voter plusieurs décrets-lois réformant en profondeur l’administration française : 106 arrondissements sont ainsi supprimés, dont ceux de Gien et de Pithiviers dans le Loiret par décret du [47]. Laas est ainsi transférée de l'arrondissement de Pithiviers à celui d'Orléans[48],[49].
Lors du découpage législatif de 1986, le nombre de circonscriptions législatives passe dans le Loiret de 4 à 5. Un nouveau redécoupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siège de député « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par département varie désormais de 1 à 21[51],[52]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq à six[53]. La réforme n'affecte pas Laas qui reste rattachée à la cinquième circonscription[54].
Intercommunalité
Positionnement de la commune de Laas dans la communauté de communes du Pithiverais.
Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Laas, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours, les électeurs pouvant modifier les listes, panacher, ajouter ou supprimer des candidats sans que le vote soit nul[58], pour un mandat de six ans renouvelable[59]. Il est composé de 11 membres[60]. L'exécutif communal est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil.
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Équipements et services publics
Eau et déchets
Production et distribution d'eau
Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[68]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal sont assurées par la commune elle-même[69].
La loi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers les communautés de communes sera obligatoire à compter du . Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l'exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes[70],[71].
La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte[72], est assurée par la commune elle-même[73].
La commune est raccordée à une station d'épuration située sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacité nominale de traitement est de 250 EH, soit 35 m3/jour. Cet équipement utilise un procédé d'épuration de type lit planté de roseaux[74],[75].
Au , la commune est membre du SITOMAP de la région Pithiviers, créé en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles[Note 3], des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire[79]. Un réseau de huit déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). La déchèterie la plus proche de la commune est située sur la commune de Loury[80].
L'élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective sont effectuées dans l'outil de traitement appelé BEGEVAL[81], installé à Pithiviers et géré par le syndicat de traitement Beauce Gâtinais Valorisation (BGV) qui regroupe le territoire des trois syndicats de collecte : SMETOM, SITOMAP et SIRTOMRA. Cet outil est composé d’un centre de valorisation matière qui trie les emballages issus de la collecte sélective, les journaux-magazines et les cartons de déchèteries, et d’un centre de valorisation énergétique qui incinère les ordures ménagères résiduelles et le tout-venant incinérable des déchèteries ainsi que les refus du centre de tri[82].
Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes du Pithiverais en application de la loi NOTRe du [83].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[85]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[86].
En 2021, la commune comptait 240 habitants[Note 4], en augmentation de 3,45 % par rapport à 2015 (Loiret : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Ruines de l'ancien château, avec les vestiges d'une tour. Les pierres ont été réutilisées pour à construction du château de Monceaux près de Boynes[88]
L’église Saint-Eutrope, remarquable par son imposante tour du XVIe siècle. Le chœur, effondré en 1927, n'a pas été reconstruit et l'édifice ne comprend désormais que deux travées fermées par un mur de style art déco[88].
Personnalités liées à la commune
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Héraldique
Blason
Écartelé : au premier d'or aux trois fers de lance de sable, au deuxième et au troisième d'azur à la gerbe de blé d'or, au quatrième d'or aux trois molettes d'éperon de sable[89].
Détails
Ces armes dérivent de celles des deux familles Braque et Salezart, dont l'union est réalisée au XVe siècle par le mariage de Marie Braque, dame d'Escrennes et de Laas, unique héritière de tous les biens de cette maison, et de Jean Salezart, serviteur de Charles VII et de Louis XI. Les deux gerbes de blé que l'on retrouve dans les armes des Braque rappellent l(appartenance du lieu à la Beauce[90] Blason adopté le 29 novembre 2005.
Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire géographique et méthodique de la République française en 120 départements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
Collectif, Loiret : un département à l'élégance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN978-2-86253-234-9)
Abbé Patron, Département du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, Comédit, 1991, réédition de 1870, 511 p. (ISBN978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN978-2-7332-1028-4, lire en ligne)
Jean-Louis Masson, Provinces, départements, régions : l'organisation administrative de la France, Paris, Fernand Lanore, , 703 p. (ISBN2-85157-003-X, lire en ligne).
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[9],[10]
↑Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus après extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Stéphane Boutet, « Nouvelle équipe autour de Michel Cochard », La République du Centre, (lire en ligne, consulté le )« Michel Cochard, maire sortant, présente une équipe presque totalement renouvelée pour l'élection municipale ».
↑Stéphane Boutet, « Un seul tour aura suffi dans 68 des 86 villes et villages du Pithiverais : Dans sept villages du Nord-Loiret, le maire sortant est en ballottage. Bilan et perspectives entre les deux tours », La République du Centre, (lire en ligne, consulté le )« Dans les dix-huit villages encore concernés, sept maires sortants sont en ballottage : [...] Michel Cochard (Laas) ».
↑Aurélie Richard, « Maurice Loze, maire de Laas dans le Pithiverais, présente sa démission : A 89 ans, le maire de Laas, village d'environ 230 habitants dans le Pithiverais, a présenté sa démission. "J'en ai marre", résume Maurice Loze, mettant en avant une fonction très compliquée et stressante », La République du Centre, (lire en ligne, consulté le )« Lui qui avait été sollicité en 2008 pour se présenter aux municipales avait refusé. "Puis, en 2014, j’avais accepté. Il n’y avait personne pour prendre le poste. Et j’y suis retourné en 2020", rappelle-t-il ».
↑Melle-Taliane N'Goma, « Élections municipales partielles : les électeurs de Laas appelés à retourner aux urnes : À la suite de la démission du maire de Laas, Maurice Loze, en mai dernier, les électeurs de la commune sont convoqués le dimanche 8 octobre pour procéder à l’élection de deux conseillers municipaux », La République du Centre, (lire en ligne, consulté le ).
↑Aurélie Richard, « Le maire de Laas, village du Pithiverais, blessé lors d'une altercation avec un habitant : que s'est-il passé ? : Le 27 novembre, une altercation a eu lieu entre le maire de Laas, un village du Pithiverais, et un habitant de la commune. Les élus de la communauté de communes ont exprimé leur solidarité. Une enquête est en cours », La République du Centre, (lire en ligne, consulté le ).
↑A.R., « Corinne Coquil est la nouvelle maire de Laas : Corinne Coquil succède à Maurice Loze, qui avait démissionné il y a quelques mois, à la tête de la commune de Laas, dans le Pithiverais », La République du Centre, (lire en ligne, consulté le )« Elue à Laas depuis 2009, elle était première adjointe depuis 2014 ».