La victoire du Cartel des gauches amène la revue à prendre position dans les débats politiques et à se radicaliser progressivement. Le Grix est alors un conservateur antiparlementaire et hostile à la démocratie. En 1934 et 1935, il se rend plusieurs fois en Italie, où il rencontre Benito Mussolini. Le dictateur fasciste lui octroie une aide financière de deux millions de francs, ce qui lui permet de racheter le quotidien L'Ami du peuple[3].