La traduction parue en français reçoit un excellent accueil de Mathieu Lindon dans Libération pour qui « tout fonctionne, il suffit d'une notation pour faire basculer le roman de l'humoristique vers le sentimental ou du sentimental vers l'humoristique » reconnaissant le « talent spécial d'Updike de savoir faire ressortir tout le comique de la "déconstruction" pour élever une notion d'apparence austère au rang de thème peut-être principal d'un roman grand public »[3] ainsi que de L'Express qui considère que John Updike « va mieux [après] l'enterrement laborieux de son cher Rabbit »[4].