Le toponyme de ce village remontant au moins jusqu'en 1837 est issu d'une légende où les premiers colons auraient entendus des pleurs qu'ils ont cru venir de fantômes[1]. Il est cru que ces pleurs seraient en fait créés par l'effet du vent sur les branches des arbres[1].
Histoire
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En 1875, Louis Lemieux construisit un moulin à farine à L'Anse-Pleureuse[2].
En 1943, après les incursions des sous-marins allemands dans le fleuve Saint-Laurent, les Forces armées canadiennes décidèrent d'installer des postes de détection le long de la côte entre Cap-Chat et Cap-des-Rosiers. Chaque poste était occupé par une dizaine de soldats. L'abbé Zénon Desrosiers, curé de Mont-Louis, refusa que des soldats s'installent dans son village. Ainsi, les Forces armées canadiennes installèrent un poste de détection et un campement militaire à L'Anse-Pleureuse[3].