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Au début du XIIIe siècle, Djalâl ed-Dîn Rumî s'installe à Konya. C'est là qu'il est enseveli[3]. La ville deviendra le siège central de la confrérie soufie des mevlevi (derviches tourneurs).
La ligne de chemin de fer à grande vitesse Ankara-Konya permet de relier les deux villes en 1 h 30 depuis .
Transport aérien
La ville de Konya est desservie par l'aéroport de Konya (Konya Havaalanı, en turc) (code IATA : KYA • code OACI : LTAN) situé à 18 kilomètres au nord-est du centre-ville.
Urbanisme
Konya comprend quelques gratte-ciel dont le plus haut est la Seljuk Tower qui atteint 163 m.
↑ a et b(en) Annemarie Schimmel, Rumi's world : the life and work of the great Sufi poet, Boston : Shambhala, (ISBN978-0-87773-611-0, lire en ligne), p. 1
Bibliographie
(de) Ramazan Özgan, Die kaiserzeitlichen Sarkophage in Konya und Umgebung, R. Habelt, Bonn, 2003, 92 p.-[66] p. de pl. (ISBN3-7749-3195-X)
(en) B. H. McLean (dir.), Greek and Latin inscriptions in the Konya Archaeological Museum, British Institute of Archaeology at Ankara, Londres, 2002, XVI-134 p. (ISBN1-898249-14-8)
Michel Balivet, Konya : la ville des derviches tourneurs, CNRS, Paris, 2001, 124 p. (ISBN2-271-05541-5)
Marthe Bernus Taylor, Charlotte Maury et Matthieu Pinette, Konya et le règne des Seldjoukides : exposition, Musée de Picardie à Amiens, du au , Musée de Picardie, Amiens, 1999, 56 p. (ISBN2-908095-21-1)
Mehmet Önder, Les musées de Konya, Yeni Kitap, Konya, 1964, 35 p.