Juliette Vandekerckhove a commencé le vélo à l'âge de 6 ans au vélo club de Roubaix, où elle sera initiée à la piste. Elle fera partie de différents clubs, tels que l'étoile cycliste Linselloise, présidé par son père, l'AS Hellemmes, avec Philippe Lambert, son président, où elle obtiendra son premier titre de championne de France en minimes-cadettes, l'UV Fourmies où son président André Prisette l'accompagnera vers son premier titre de championne du Monde juniors[1].
À 17 ans elle intègre le pôle espoirs de Saint Amand Montrond, et c'est aux côtés de Benoît Carré qu'elle sera sacrée championne du Monde en contre-la-montre à Plouay[2]. Après avoir passé deux années dans le Cher elle reviendra au vélo club de Roubaix aux côtés de Cyrille Guimard.
En 2004, elle est pré-sélectionnée olympique sur route et sur piste, elle met fin à sa carrière prématurément.
En fin d'année 2007, elle prépare son grand retour à la compétition. Elle s’engage avec l'US Camon (Somme) pour la saison cycliste 2008. Elle met à nouveau fin à sa carrière lors de cette même année.
Elle reprend à nouveau la compétition en 2017, à 34 ans. Freinée dans son retour par une fracture du fémur lors d’un accident domestique cette même année, elle poursuit malgré cet événement. Puis elle met un terme définitif à sa carrière en 2018 sous les couleurs du Vélo Sprint de Bouchain[1].
Vie privée
Juliette Vandekerckhove a trois enfants[3], une fille (Léa) et deux garçons[4].