Le 13 février 1882, il soutient ses deux thèses de doctorat ès lettres à la Faculté de Paris[2]. La première, en français, s'intéresse aux sacerdoces athéniens[3]. La deuxième, en latin, pose la question de la signification des figures sépulcrales des Néréides[4]. De 1884 à 1900, il participe à de nombreuses soutenances de thèses de doctorat, en qualité de membre du jury[2].
Martha est nommé chargé de cours à la faculté des lettres de Paris en 1892, puis professeur d’éloquence latine de 1895 à 1923.
Inscriptions doliarires latines : marques de briques relatives à une partie de la gens Domitia recueillies et classées (1880)
Catalogue des figurines en terre cuite du Musée de la Société archéologique d'Athènes, Paris, Ernest Thorin éditeur, coll. « Bibliothèque des Écoles françaises d'Athènes et de Rome no 16 », , XXXV & 233 p. (lire en ligne), 8 planches
Les Sacerdoces athéniens (1882), thèse de doctorat ès lettres
Quid signifaverint sepulcrales Nereidum figurae (1882), thèse de doctorat ès lettres
Manuel d'archéologie étrusque et romaine (1884)
L'Art étrusque (1889)
La Fuite de Dédale, note sur une stèle étrusque à sujets mythologiques trouvée à Bologne (1891)
Œuvres de Cicéron : Brutus. Texte latin. Revu et publié d'après les travaux les plus récents (1892)
Pline le Jeune : Le Bonheur domestique de Pline le Jeune : Comment Pline le Jeune arrangeait sa vie : Sa Familia : Ses Sentiments religieux : Sa correspondance avec Trajan (1898)
La Langue étrusque (1913)
Traductions
Cicéron, Brutus, Paris, Les Belles lettres, , 264 p.
Cicéron (trad. avec Henri de La Ville de Mirmont), Discours, t. IV : Seconde action contre C. Verrès - Livre III, Paris, Les Belles lettres, , 273 p.
Cicéron, Des termes extrêmes des Biens et des Maux, t. I : Livres I-II, Paris, Les Belles lettres, , 244 p.
Cicéron, Des termes extrêmes des Biens et des Maux, t. II : Livres III-V, Paris, Les Belles lettres, , 326 p.
Notes et références
↑Christophe Charle, « 82. Martha (Joseph, Jules) », Publications de l'Institut national de recherche pédagogique, vol. 2, no 1, , p. 133–134 (lire en ligne, consulté le )