12 - 13 juillet, France : dispersion de “ l'armée catholique du Midi ”, réunie au camp de Jalès (royalistes), par les gardes nationales du Gard et de l'Ardèche.
19 juillet, France : les bataillons de la garde nationale sont réduits de 60 à 48 et affectés à chaque section.
25 juillet : manifeste de Brunswick au peuple de Paris, comportant des menaces en cas d’outrage à la famille royale, lancé de Coblence et signé par le commandant en chef des armées prussiennes et autrichiennes, Charles Guillaume de Brunswick[1].. Arrivée des contingents de fédérés “ Bretons ”. Les 48 sections parisiennes sont autorisées à siéger en permanence par décret.
30 juillet, France : arrivée des contingents de fédérés “ Marseillais ” qui popularisent le Chant de guerre pour l'Armée du Rhin.
↑ a et bChristophe Koch et Frédéric Schoell, Histoire abrégée des traités de paix, entre les puissances de l'Europe, depuis la paix de Westphalie, vol. 4, Chez Gide fils, (présentation en ligne)