Lavarenne devient ensuite directeur de l'union missionnaire du clergé de France, secrétaire puis président de l'œuvre pour la propagation de la foi, et de l'œuvre de saint Pierre apôtre, et reçoit le titre honorifique de protonotaire apostolique[1].
Friand de culture lyonnaise il rédige de nombreux ouvrages sous son nom ou sous les pseudonymes de Joseph des Verrières ou Benoit Lerégent[2] et il écrit plusieurs pièces de Guignol[1].
À proximité, place Benoît-Crépu se trouve un buste en bronze de Joseph Lavarenne. Réalisé en 1954 (architecte : Jean Cateland), il a d'abord été dans la cour d’honneur du Palais Saint-Jean, rue Adolphe-Max, puis enfin place Benoît-Crépu[1] (osm).
Archives
Les archives de Joseph Lavarenne se trouvent aux Archives départementales du Rhône, sous la cote 26 J 1-26.
Références
↑ abcd et e« Monseigneur Joseph Lavarenne [1882-1949] » [PDF], centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône citant Patrice Béghain, Bruno Benoît et Bruno Thévenon, Dictionnaire historique de Lyon, Lyon, Stéphane Bachès, , 1054 p. (ISBN9782915266658), p. 755.