Fils du grand écrivain uruguayenJuan Carlos Onetti[2], il se fait connaître avec son recueil de contes Cualquiercosario, qui gagne le prix Casa de les Américas en 1965. En 1968, il est finaliste du prix Biblioteca Breve avec son roman Contramutis. Son œuvre littéraire se caractérise par un mélange de réalité et de fantastique, pimenté d'un humour acide[3]. Écrasé par le poids de la notoriété de son père, il travaille dans l'ombre, pratique facilement l'autocritique et publie peu, se consacrant surtout au journalisme[2].
Il s'exile en Espagne avec son père et vit de nombreuses années à Madrid, où il meurt d'une embolie pulmonaire peu avant la parution de son livre Siempre se puede ganar nunca[2].
Bibliographie
Cualquiercosario, 1965
Contramutis, 1968
Siempre se puede ganar nunca, 1998
Références
↑La date exacte de sa naissance est fournie dans la notice biographique de son père sur le site Buscabiografias (es)