Il co-initie, co-dirige et suit le projet de Flore pratique du Maroc de 1982 à 2014[5],[3]. Il s'intéresse à l'immense Herbier de l'Institut de botanique de Montpellier à partir de 1990[2]. Il en devient responsable en 1994[4] et contribue à sa numérisation. Il dirige le Département d’Enseignement de Biologie et Écologie jusqu'en 2006[4].
Joël Mathez travaille notamment sur les Valérianacées et le genre Teucrium[2]. Il est co-auteur de deux noms de genres, d’une dizaine de taxons nouveaux (espèces et sous-espèces) et d’une quinzaine de combinaisons nouvelles[11].
Quelques publications
Joël Mathez, Les monocotylédones, Paris, Société française de systématique, coll. « Biosystema », , 143 p.
Mohamed Fennane, Mohamed Ibn Tattou, Joël Mathez, Aïcha Ouyahya et Jalal El Oualidi, Flore pratique du Maroc : Manuel de détermination des plantes vasculaires, vol. 1 Pteridophyta, Gymnospermae, Angiospermae (Lauraceae-Neuradadeae), Rabat, Université Mohamed 5 - Agdal, coll. « Travaux de l'Institut scientifique. Série Botanique », , 560 p. (ISBN2366610009).
Préface du volume 2 : Mohamed Fennane, Mohamed Ibn Tattou, Aïcha Ouyahya et Jalal El Oualidi, Flore pratique du Maroc : Manuel de détermination des plantes vasculaires, vol. 2, Angiospermae ( Leguminosae - Lentibulariaceae), Rabat, Université Mohamed 5 - Agdal, coll. « Travaux de l'Institut scientifique. Série Botanique », , 636 p. (ISBN9954-8347-4-5).
↑ abc et d« Joël Mathez », sur Journées Coste (consulté le ).
↑ a et b« Le programme franco-marocain de rédaction de la flore pratique du Maroc », Lagascalia, vol. 15 (Extra), , p. 143-153 (lire en ligne, consulté le ).