L'Ystoire de la belle Helayne de Constantinople, mère de Saint Martin de Tours en Touraine, et de Saint Brice, son frère (1448), édition abrégée de l'œuvre d'Alexandre de Bernay.
Le Livre de Brutus et de la grant Bretaigne, traduction de l’Historia regum Britannie de Geoffroy de Monmouth.
La Chronique brabançonne, traduction des Chronica ducum Lotharingiae et Brabantiae d'Edmond de Dynter, elles-mêmes une commande de Philippe le Bon.
Le Livre du gouvernement des princes, jadis composez par frère Gille de Romme, de l'ordre des frères hermites de Saint-Augustin, translaté du latin en francoys, au commandement de mon très-redoubté seigneur Philippe, par la grâce de Dieu, duc de Bourgogne, de Brabant, etc. (1452)
Notes et références
↑Albert Henry, Histoire des mots Wallons et Wallonie, Institut Jules Destrée, Coll. « Notre histoire », Mont-sur-Marchienne, 1990, 3e éd. (1re éd. 1965), p.23-24.
↑Serge Lusignan, Essai d’histoire sociolinguistique : Le français picard au Moyen Âge, Paris, Éditions Classiques Garnier, (ISBN978-2-8124-0621-8), Le français picard au Moyen Âge : état des lieux :
« Wauquelin serait né un peu au nord de Beauvais, dans les environs de Breteuil-sur-Noye (arr. Clermont, dép. Oise), à une date indéterminée. »
↑Serge Lusignan, Essai d’histoire sociolinguistique : Le français picard au Moyen Âge, Paris, Éditions Classiques Garnier, (ISBN978-2-8124-0621-8), Le français picard au Moyen Âge : état des lieux :
« Il fait une seule allusion à ses études rappelant : « au temps de ma jeunesse que je aloye a l’escole assés prés dudit monastere [de Notre-Dame de Breteuil] ». Cette citation laisse croire qu’il n’aurait pas étudié à Paris. Wauquelin aurait passé toute sa vie en pays picard. »
« Originaire de Picardie, comme il le déclare lui-même dans Les Faicts et les Conquestes d’Alexandre le Grand, il fréquenta une école de « Bretueil en Beauvoizis », selon une brève allusion dans La Belle Hélène de Constantinople »