Dinard : Monuments aux morts 1914-1918, statue en bronze d'un ange tenant une couronne de laurier dans chaque main posé sur colonne quadrangulaire en pierre. Commande de 1923, création 1926, inauguré en 1927[3],[4].
Flirey : Monument aux morts des architectes Alnias et Guilgot, statues de soldats, Victoire ailée, femmes et enfants, par Galle. Ce monument a été érigé par souscription publique organisée par l'Amicale des anciens combattants des 163e et 363e RI, inauguré le [5].
Houilles : Monument aux morts de 1914-1918, groupe en pierre calcaire, un soldat fait ses adieux à sa femme et son enfant. Inauguré le [6].
Iffendic : Monument aux morts de 1914-1918, statue en bronze d'un soldat[7].
Lancieux : Monument aux morts de 1914-1918, stèle, bas-reliefs, ancre de marine, palme, croix de guerre. Statue acheté à Jules Déchin (1869-1947) : Poilu mourant(d).
Melrand : Monument aux morts de 1914-1918, architecte René Guillaume (1885-1945). Obélisque sur socle, sculpture de Galle et poilu couché mourant de Jules Déchin. Inauguré le .
Mernel : Monuments aux morts 1914-1918, 1924, médaillon d'une tête de profil gauche posée sur une branche de laurier sur une croix, bas-relief et obélisque, fonte de fer, bronze, granit, Architecte : René Guillaume (1885-1945)[8].
Saint-Sébastien-sur-Loire : Monument aux morts de 1914-1918. En , le conseil municipal, sous l’égide du maire Armand Duez, décide d’ériger un monument à la gloire des Sébastiennais morts pour la France. Le maire lance un concours qui laisse la liberté aux concurrents de présenter une œuvre simple et originale en granit. Jean Galle réalise un bas-relief sur une colonne où est gravé « Honneur et Patrie », devise française sous le Premier Empire, et où figure une croix militaire. La colonne est surmontée d'une Victoire aux ailes déployées.
↑Sous la présidence d'honneur d'Albert Lebrun, président de la République, de Philippe Pétain et du docteur Fulconis, président actif de l'Amicale, et de Louis Marchal, maire de Flirey et Jean Médecin, député et maire de Nice, ainsi que Lucien Mauvais, curé de Flirey.
Philippe Rivé (dir.), Monuments de mémoire, les monuments aux morts de la première guerre mondiale, mission permanente aux commémorations et à l’information historique, Paris, 1991, Documentation française, p. 262.
Alain Choubard, L’histoire des 500 plus beaux monuments aux morts de France, Clermont-Ferrand, éditions Christine Bonneton, coll. « Les 500 plus beaux », novembre 2014, p. 201.
Jean-Yves Coulon, La statuaire commémorative des monuments aux morts de la première guerre, p. 237.