Il fut l'indicateur de Lucien Aimé-Blanc, ancien numéro 2 de l'Antigang et des Stups, ex-patron de l'OCRB. « Maion » fut assassiné le à Argent-sur-Sauldre, dans le Cher, au lendemain de sa sortie de prison. L'arme du crime, un fusil de chasse chargé de cartouches "très particulières", a été acheté par un certain François Brunetti, qui possédait également des munitions identiques à celles de l'assassinat. Brunetti serait lié à une société d'exploitation de machines à sous basée à Nice[2].
Son meurtre aurait probablement été commandité par l'un des frères Zemour qui aurait voulu mettre un terme à leur rivalité[réf. nécessaire].
Assassinats
Pierre Goldman
Jean-Pierre Maïone-Libaude dit avoir participé à l'assassinat de Pierre Goldman pour le compte des GAL (Groupes antiterroristes de libération), qui éliminaient physiquement les membres d'ETA. Les GAL associaient des truands des réseaux marseillais de Tany Zampa ou du milieu bordelais, héritiers de Jo Attia, et d'anciens policiers.