Une jeune femme essaie de se retrouver en s'enfermant dans sa chambre, faisant le vide autour d'elle : meubles déplacés puis sortis. En rédigeant de nombreux brouillons pour une lettre, qu'elle destine à son amante. Son alimentation se réduit au sucre en poudre. Elle quitte sa chambre, est pris en stop par un routier avec lequel elle partage son quotidien, puis rejoint son amante.
↑ abcd et eSelon CinéRessources (Cf. lien externe)
Voir aussi
Bibliographie
Josette Déléas, « La jouissance du voir dans Je tu il elle de Chantal Akerman », Cinémas, vol. 8, no 3, , p. 121–133 (DOI10.7202/024761ar, lire en ligne)
(en) Ros Murray, « The radical politics of possibility: towards a queer existential phenomenology through Chantal Akerman’s je tu il elle », Feral Feminism, no 5, (ISSN2292-146X, lire en ligne)