Entre 2001 et 2002, il est emprisonné pour un délit d'insoumission[1]. Il participe à la lutte contre le TGV au Pays basque.
Javier Rodríguez Hidalgo collabore à la revue de critique anti-industrielle Los amigos de Ludd entre 2001 et 2006. Ensuite, entre 2006 et 2009, il édite la revue de critique sociale Resquicios[2]. Il écrit aussi dans la revue Cul de sac.
En , il publie ¿Sólo un dios puede aún salvarnos?, un essai sur Heidegger et la technique. Dans ce livre, Rodríguez Hidalgo conteste les idées du philosophe allemand et met en doute sa lucidité supposée sur la technique.
En , il publie un article où il critique le roman Patria de Fernando Aramburu et sa réception enthousiaste par la critique[1].
Essais
Javier Rodríguez Hidalgo et Ander Berrojalbiz, La docilidad en tiempos de Covid, Ediciones El Salmón, 2023.
Javier Rodríguez Hidalgo, Adiós a una época que muere sin paz. La crítica del mundo moderno en la literatura española (1874-1936), Ediciones El Salmón, 2023.
Javier Rodríguez Hidalgo, La revolución en la crítica de Félix Rodrigo Mora, éditions El Salmón, 2011.
Javier Rodríguez Hidalgo, ¿Sólo un dios puede aún salvarnos? Heidegger y la técnica, éditions El Salmón, 2013.
Traductions
Jaime Semprún, Apología por la insurrección argelina, Muturreko, 2002.
Grupo Marcuse, De la miseria humana en el medio publicitario, Melusina, 2009.
Lewis Mumford, El mito de la máquina, traduit de l'anglais, Pepitas de calabaza, 2011.