Il est nommé colonel le , à l’armée du Nord, et il est promu général de brigade le . Il assume les fonctions de chef d’état-major de l’armée des côtes de Brest, et le il participe à la défense de Nantes. Il est suspendu de ses fonctions le , soupçonné de trahison, il est arrêté à Rennes le .
Il est mis en congé de réforme le , et le , il devient préfet de Haute-Saône, poste qu’il occupe jusqu’au . Le , il est rappelé en activité, comme commandant de 3 cohortes de la Garde nationale envoyé à l’armée d’Anvers, et il est remis en non-activité le . Il est admis à la retraite le .
Pierre Jullien de Courcelles, Dictionnaire historique et biographique des généraux français : depuis le onzième siècle jusqu'en 1822, Tome 9, l’Auteur, , 564 p. (lire en ligne), p. 426.
Étienne Charavay, Correspondance générale de Carnot, tome 3, imprimerie Nationale, , p. 3.