Toutes les entreprises de plus de 50 salariés doivent s'y soumettre : il s'agit de calculer un score sur 100, visant à mesurer les inégalités de salaires entre les hommes et les femmes employés par la société. En dessous d'un score de 75, l'entreprise doit prendre des « mesures correctrices », au risque de se voir infliger une amende, de 1% de la masse salariale totale[1],[2].
L’Index est composé de 4 à 5 indicateurs selon que l’entreprise a moins ou plus de 250 salariés :
L’écart de rémunération femmes-hommes,
L’écart de répartition des augmentations individuelles,
L’écart de répartition des promotions (uniquement dans les entreprises de plus de 250 salariés),
Le nombre de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité,
La parité parmi les 10 plus hautes rémunérations[3].
Critiques
En 2021, un DRH rapporte anonymement à France Inter que les entreprises peuvent s'arranger pour gonfler leur score, permettant ainsi d'échapper aux sanctions[4].